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Le philosophe Pyrrhonien : comédie en trois actes ; texte établi d'après l'édition d'Angers, 1761
(2009)
La comédie "Le Philosophe Pyrrhonien" a été publiée en 1761 à Angers, dans le nord de la France. L’auteur de l’oeuvre est Monsieur Martin, professeur au collège de Château-Gontier. Avec sa pièce de théâtre, Martin veut réfuter le scepticisme du philosophe grec Pyrrhon (~360 - ~270 av. J.-C.) et faire connaître à son public la théorie de la connaissance et l’éthique d’Aristote. L’ouvrage, publié à l’apogée des Lumières, est donc aussi -sous une forme voilée- un témoignage des débats philosophiques de son époque.
Le récit "La semaine mémorable" du 24 Juillet 1789 fait partie des descriptions contemporaines qui décrivent en détail les événements survenus à Paris au moment de la prise de la Bastille. Son auteur anonyme se montre un partisan résolu de la Révolution. Il rejette cependant catégoriquement toute anarchie et souhaite que le pouvoir politique passe aux mains des citoyens de la manière la plus ordonnée possible. Il voit son principal adversaire dans la haute noblesse, notamment dans les ministres du roi. Louis XVI est pour lui un souverain qui se range du côté de la population et qui n'est empêché de mettre en pratique sa bonté que par son entourage.
Mémoire sur les Etats généraux, 1er juin 1789 : un manuscrit inconnu de la Révolution Française
(2011)
Le manuscrit "Mémoire sur les Etats généraux", qui est publié ici pour la première fois, fut écrit le 1er juin 1789. D’après son auteur anonyme, la plupart des exigences exprimées dans les cahiers de doléances furent déjà satisfaites par les concessions accordées par Louis XVI. Pour lui, la plus grande différence réside dans les diverses opinions concernant le mode de vote des Etats généraux.
Les commentaires de l’auteur sur les demandes des cahiers de doléances montrent clairement ses convictions politiques. D’une part, il demande la restriction du pouvoir absolu du roi, d’autre part, il veut maintenir le système des trois ordres. Sa position en faveur d’une monarchie forte ne le fait même pas reculer devant une critique envers le roi, certes prudente. Il craint qu’avec l’abolition complète des privilèges, la monarchie ne perde sa raison d’être et trouve sa fin.
A cause de ses opinions conservatrices concernant l’armée et de son appui pour les différences entre les trois ordres, il est fort probable que l’auteur du "Mémoire" ait été membre de l’aristocratie militaire.
Das Herzogtum Pfalz-Zweibrücken erlebte in der zweiten Hälfte des 18. Jahrhunderts eine Zeit außergewöhnlicher Blüte. Sie war dem Wirken der Herzöge Christian IV. (1722-1775) und Karl II. August (1746-1795) zu verdanken, die das kulturelle Leben des Kleinstaates intensiv förderten. In diesem Zeitraum erschienen im Herzogtum mehrere Zeitschriften in französischer Sprache. Ihre Titel waren: „L’Observateur françois à Londres“ (1773), „Journal de Littérature et Choix de Musique“ (1783-1784), „Journal de Littérature françoise et étrangère“ (1785-1787), „Gazette universelle de Littérature“ (1770-1780) und „Gazette des Deux-Ponts“ (1770-1810).
Vor allem die beiden „Gazettes“ waren weit über die Grenzen des Herzogtums bekannt. In der Rezensionszeitschrift „Gazette universelle de Littérature“ wurde das Gedankengut der Aufklärung zum Ausdruck gebracht. Ihr erster Redakteur, Jean-Gaspard Dubois-Fontanelle, war ein begeisterter Anhänger Voltaires. Die Autoren der Zeitschrift befürworten ein Christentum, dessen Grundsätze frei von allen irrationalen Elementen sind und auf den Wahrheiten des Evangeliums beruhen. Sie äußern immer wieder die Hoffnung, dass sich die Vernunft im Laufe der Zeit auch in religiösen Fragen durchsetzt. Mit allem Nachdruck werden jedoch materialistische und atheistische Überzeugungen zurückgewiesen. Dies zeigt sich deutlich an den Kommentaren der „Gazette“ zu dem Werk „Système de la Nature“ (1770) von Paul Henri Dietrich baron d’Holbach.
Die „Gazette des Deux-Ponts“ berichtete über das aktuelle politische Geschehen. Sie befürwortet in Bezug auf die Französische Revolution eine konstitutionelle Monarchie und kritisiert das Verhalten der Jakobiner. Kritische Berichte über die Personen, denen die Revolution noch nicht weit genug fortgeschritten ist, veröffentlichte die „Gazette des Deux-Ponts“ bis zum August des Jahres 1792. Nach den Repressalien, die in diesem Monat gegen zahlreiche oppositionelle Zeitungen erfolgten, werden ihre Artikel sehr zurückhaltend. Nur in seltenen Fällen finden wir subjektive Stellungnahmen. Dies ändert sich mit dem Ende der Schreckensherrschaft. Die „Gazette“ veröffentlicht von diesem Zeitpunkt an immer häufiger Berichte, deren Verfasser die Jakobiner vehement angreifen. Sie fordern, dass die Wahlen des Jahres 1795 ohne Einschränkungen durchgeführt werden können.
Die „Gazette des Deux-Ponts“ erschien unter verschiedenen Titeln bis zum Jahr 1810. Zu diesem Zeitpunkt wurde sie in Mannheim gedruckt. Sie fiel im Oktober 1810 einer Anordnung Napoleons zum Opfer, in der die Zeitungen im Großherzogtum Baden verboten wurden.
Digitalisat von:
Innerer Ausbau. Abt. 2, Serie 2. Die Arbeiten des Bautischlers
Wandvertäfelungen, einfache Fenster und Doppelfenster, Schiebefenster, Schaufenster, getäfelte Decken, Beschläge usw. ; eine Sammlung der gebräuchlichsten Konstruktionen mit Einzelheiten im Stile der Gothik und Renaissance ; zum Gebrauch für Ausführende und Studierende des Baufachs